Futur Télécom
Et si vous commenciez aujourd'hui par rentabiliser vos télécoms ?

Futur Télécom, c'est d'abord l'éclatante réussite d'une société française qui démarre - sans complexe ! - en 1993, par… les Etats-Unis !… Avant de s'imposer en France à partir de 1997 !
Aujourd'hui, cette double implantation est un atout de taille pour mener à bien l'engagement principal de la société : "Apporter une solution globale et dynamique permettant d'optimiser la gestion des budgets télécoms des entreprises".

Forte de cette expérience acquise outre-Atlantique où la déréglementation est effective depuis les années 80, Futur Télécom a bâti une offre de services originale et novatrice qui ne saurait se limiter à l'acheminement de voix, de données ou d'images.

Son métier d'opérateur consiste à composer le bouquet technologique adapté aux besoins précis des entreprises, à mettre en œuvre la convergence des différents réseaux mobilisés et à restituer de manière très détaillée les informations utiles au pilotage de votre budget.

Ainsi, pour ce dernier point, Futur Télécom a-t-elle créé et développé son propre logiciel de facturation intitulé, "Master Report" . Il assure une vision analytique (par sites, par services, par personnes, par pays…) et extrêmement fine (pics d'activité selon cadrans horaires…)

Opérateur sans infrastructure (switchless reseller) et donc dégagé de toute contrainte liée à l'exploitation d'un réseau donné, Futur Télécom peut concentrer toute son énergie et ses talents au service du client, faisant de chacun, un cas unique à traiter comme tel.

Et si la personnalisation client est très poussée, elle n'empêche pas Futur Télécom d'offrir à chacun d'entre eux des services communs exclusifs comme, par exemple, un réseau privé virtuel nommé GFN (Global Future Network).

Cette innovation, unique sur le marché, leur permet de bénéficier de tarifs privilégiés et préférentiels sur leurs appels filaires à cellulaires, cellulaires à filaires mais aussi sur tous les appels via l'ensemble des abonnés (filaires et cellulaires) Futur Télécom.

Grâce à son expérience internationale, Futur Télécom prend aussi intégralement chez ses clients les projets associant communication locale et longue distance.

Enfin, pour compléter son offre, la société est également présente pour la gestion des numéros spéciaux et, évidemment, l'internet avec une offre ADSL adaptée aux entreprises dénommée "Futurnet".

En France, après le rachat du français Soléos, autre "switchless reseller" positionné sur le marché B to B implanté à Strasbourg, Futur Télécom (dont le siège social est à Paris) a complété ses positions dans l'Hexagone (Bordeaux, Nantes et Lyon) après avoir fait de Marseille depuis 1999 son centre opérationnel sur 1 700 m2 au cœur des Docks.

"Marseille offre en effet de nombreux atouts, affirme Laurence Monrose, directrice de la communication et du marketing. Outre le cadre et la qualité de vie proposés par la région, tout a été mis en place pour accueillir les opérateurs. Aujourd'hui, la ville est synonyme de fiabilité en terme d'infrastructure et Euroméditerranée offre un rapport qualité/prix très compétitif dans un environnement constitué de sociétés innovantes.
Enfin, par rapport à la stratégie de développement orientée vers l'Europe du Sud, Marseille représente, de par son histoire et sa position, une base privilégiée."

Avec un C.A. de 20 millions d'Euros en 2001 et une prévision de 37,5 pour 2002, 6 sites, une centaine de salariés dont une douzaine aux Etats-Unis et un porte-feuille de 10 000 clients, l'entreprise est aujourd'hui dans le Top 5 des opérateurs de télécommunication du marché professionnel français.

Contact :
Laurence Monrose, directrice de la communication et du marketing
laurence.monrose@futurtelecom.com
Futur Télécom
10, place de la Joliette
Les Docks - B.P. 35214
13567 Marseille Cedex 2
Tél. : 33 (0)4 96 17 10 10
Fax: 33 (0)4 96 17 10 11
Web : www.futurtelecom.com

 

 

Telexport (Exportateurs et Importateurs PACA + Corse)
D'ici à là-bas et réciproquement, il vous faut le guide !

Inutile de le rappeler, notre région est riche d'une tradition d'import-export commerciale multi-séculaire. Mais avec la diversité des offres et des échanges, il est parfois difficile de s'y retrouver.
Alors consultez les fiches de 2 000 entreprises exportatrices ou importatrices régionales (Corse incluse) avec les coordonnées, le nom du dirigeant, le nom des principaux responsables, le CA, le % CA export, les produits exportés et/ou importés, la tranche d'effectif ainsi que les zones import ou export.

Edition 2001 CCIMP - 17 euros (prix promotionnel)

Etat des zones d'activité des Bouches-du-Rhône (Edition 2001)
Pour mieux se connaître…

Avec pas moins de 240 zones d'activité réparties sur 91 communes, les Bouches-du-Rhône affichent un évident dynamisme économique ! Mais comment se retrouver au cœur d'un tel foisonnement ? Suivez le guide " Etat des zones d'activité des Bouches-du-Rhône " ! A partir d'une cartographie de chacune des 91 communes, qui permet de localiser toutes les zones d'un territoire, vous trouverez la vocation générale, la liste des interlocuteurs, les surfaces, le nombre d'entreprises, leurs équipements et leur environnement…

Edition 2001 CCIMP - 44 Euros

Pour commander ces guides :
Librairie CCIMP Info
Ouverture de 8 h à 18 h 30
Palais de la Bourse - BP 1856 - 13221 Marseille cedex 01 -
Tél. : 04 91 39 56 07 - Fax : 04 91 39 34 89
Contact : mary-lou.di-napoli@marseille-provence.cci.fr
http://www.marseille-provence.cci.fr

Rappel

Le catalogue qui recense l'ensemble des ouvrages disponibles édités par la CCIMP et proposés dans les espaces " Librairie " d'Aix-en-Provence, Salon-de-Provence et Marseille est adressé sur simple demande auprès de :

Gisèle Mazaudier
CCI Marseille - Provence - Direction Déléguée aux Affaires Economiques
BP 1856 - 13221 Marseille Cedex 01
Tél. : 04 91 39 34 38 - Fax : 04 91 91 42 25
gisele.mazaudier@marseille-provence.cci.fr

Avec Recycl'étic
Soyez dans le clic !

A l'initiative et avec le soutien d'Euroméditerranée, l'association TransitioN propose aux entreprises et institutions du périmètre un service de recyclage de leur parc informatique obsolète, baptisé "Recycl'étic".
Les machines, une fois reconditionnées seront redistribuées en état de marche auprès d'écoles et d'associations à des tarifs participatifs.

La filière de recyclage d'ordinateurs naît d'un double constat :
- l'obligation légale pour les entreprises et les administrations de procéder à une élimination "propre" de leur matériel informatique obsolète depuis le 1er janvier 2002.
- l'accroissement des besoins en matériel des structures sociales et éducatives pour développer massivement les usages grand public du numérique.

En conséquence, l'offre des services de "Recycl'étic" se présente de la manière suivante : prise en charge de tous les ordinateurs usagés, quel que soit leur état moyennant un coût d'enlèvement de 65 euros pour une configuration complète et de 30 euros pour chaque élément séparé (imprimante, clavier, écrans).

En contre-partie, les donateurs reçoivent :
- un bon permettant de sortir de leurs immobilisations les ordinateurs amortis,
- un certificat d'effacement des données,
- une attestation de don pour les ordinateurs rénovés et redistribués leur donnant droit à une déduction fiscale prévu le Code général des impôts (article 238 bis).

Par ailleurs, deux opérations annuelles de communication autour du don, sous forme d'événements ponctuels, avec la présence de la presse et de décideurs locaux, seront organisées afin d'assurer une bonne visibilité de l'action.

L'association lance dès maintenant une première campagne de récolte. Si vous avez des ordinateurs à céder, ou pour en savoir plus - notamment sur les modalités de redistribution aux écoles et/ou associations - n'hésitez pas à contacter TransitioN.

Contact :
TransitioN
24 rue Sénac de Meilhan
13001 Marseille
Tél. : 04 95 08 11 50
Fax : 04 95 08 11 58
contact : Alban De KORTE
a.de.korte@wanadoo.fr

Pour Information

L'association TransitioN a pour objet social la mise en œuvre de toute action susceptible de faciliter l'insertion sociale et professionnelle des publics qui connaissent des difficultés d'accès à l'emploi, à travers des actions d'accompagnement et de mobilisation des acteurs économiques.

 

Encore plus que les autres, cette rubrique est la vôtre… Vous souhaitez communiquer des résultats, faire part de vos nouvelles implantations ou de vos succès commerciaux, informer des recrutements en cours dans votre entreprise ou des nominations effectuées…
• Vous voulez informer les lecteurs de Médiane d'un futur passage dans les médias (articles de presse à venir, interviewes TV ou radios)…
• Vous souhaitez réagir sur le contenu de Médiane, proposer des sujets, suggérer des améliorations…
Une seule adresse : okaritonews5@okarito.com

Evidemment, le comité de rédaction de Médiane se réserve le droit de sélectionner et publier les informations reçues en fonction de leur pertinence éditoriale.

Dans l'univers des télécoms, la guerre fait rage autour des tarifs dits à la seconde. Ainsi Que Choisir, après Bouygues Telecom attaque Orange sur les modalités qu'il impose à ses clients lors du passage à la facturation/seconde.
Résultat de cet affrontement : le consommateur y perd un peu son latin comme le constate Zdnet qui propose quelques éclaircissements salutaires.
Parallèlement, SFR a ouvert son service d'envoi et de réception de MMS (Multimedia Messaging Services), des SMS enrichis de sons ou d'images. Bouygues a déjà fait de même, et Orange préfère attendre. Mais pour l'instant, les réseaux sont incompatibles entre eux...
A côté de ce trio qui tient le haut du pavé, les autres opérateurs Télécoms agissent aussi ! Ainsi, LDCom, encore peu connu sur le marché, cherche à gagner en notoriété. Pour cela, il regroupera sous le nom de 9 Telecom l'ensemble des différentes marques qu'il a récemment acquises : Kaptech, Belgacom France, Firstmark France, 9Telecom, Ventelo France.
Enfin, consécutivement au dépeçage en cours de Vivendi Universal, Thomson multimédia s'est porté acquéreur de Canal + Technologies tandis que l'AFP annonçait le même jour la signature de la cession du bouquet italien de télévision "Telepiu" à Newscorp (Rupert Murdoch).
Et de télévision il en est encore question en Finlande mais sur son téléphone mobile. Selon Reuters, les Finlandais peuvent désormais regarder des films ou les actualités sur leur téléphone portable, grâce à un nouveau service lancé par des professionnels pour développer l'usage du mobile.
Enfin, en Norvège, c'est Télénor qui a annoncé, pour sa part, le lancement d'une gamme de services de télécommunications "Sealink" dédiée au secteur maritime mondial.

Toujours en tête des préoccupations des opérateurs en ligne, l'ADSL a fait mi-septembre une rentrée fracassante avec d'abord l'annonce par Free d'une offre spectaculaire à 30 Euros par mois puis par celle du Club-Internet à 30 euros toujours mais avec un débit quatre fois inférieur.
Pourtant et d'après 01net.com, les FAI ne semblent pas vouloir suivre le mouvement qui leur paraît très difficilement tenable.
Quelques jours plus tard, Alcatel annonçait à l'occasion de la 9ème assemblée européenne du télétravail l'un des premiers sites Internet consacrés au télétravail en France (www.teletravailenfrance.com) dans l'espoir de favoriser le développement de ce type de travail à travers notamment les expériences engagées par un certain nombre de grands groupes français et internationaux tels que France Telecom, IBM ou EDF-GDF.
Dans le même ordre d'idée, une enquête du Journal du Net montre que le Wi-Fi (réseau local d'accès sans fil utilisant les voies hertziennes) semble décoller en Grande-Bretagne alors qu'il est toujours au point mort en France.
Dûment murmurée, annoncée puis reportée, voici enfin la console en ligne XBox Live de Microsoft qui sera testée ces prochaines semaines en Europe chez des joueurs, possesseurs de connexions à haut débit.
Pendant ce temps, Sony affirmait, selon Reuters, qu'elle pourrait rapidement doter sa console PlayStation 2, dont les joueurs peuvent déjà connecter à l'internet, de fonctions permettant d'enregistrer des émissions de télévision.
Ce dynamisme ne doit pas faire oublier le marasme qui touche le secteur et notamment celui des jeux vidéo : après Kallisto, c'est Cryo qui disparaissait le 1er octobre.

Malgré une conjoncture économique difficile, l'armement corse Corsica Ferries a transporté du 1er mai au 15 septembre 2002, 1 227 850 passagers sur la Corse, soit une augmentation de 12,45% par rapport à la période correspondante de 2001, avec le même nombre de traversées proposées, révèle les Echos du 19 septembre.
Toujours à propos de l'Ile de Beauté, la Société nationale Corse Méditerranée n'a en revanche pas pu organiser la cérémonie de baptême du nouveau navire, le Danielle Casanova (pourtant annoncée depuis fort longtemps) en raison d'un préavis de grève déposé par la CGT.
Dix ans après sa construction, CMA-CGM French Lines a vendu le ''CMA CGM Normandie" le 23 septembre dernier à la société britannique Mervall. Quelques jours plus tard, le 27 septembre, l'armement français annonçait dans les Echos avoir conclu un accord avec le suisse Mediterranean Shipping Company (MSC), aux termes duquel le premier va acheter des espaces sur les navires des deux services transatlantiques du second.
Plus au nord, au Havre, révèle les Echos du 1er octobre, et malgré une progression des conteneurisés, le trafic du port a été en baisse à fin août avec 45,2 millions de tonnes, avitaillement inclus, soit une baisse de 1,4% sur celui de la période correspondante de l'année dernière.
Le même jour et comme fait exprès, la nomination par Jean-Pierre Raffarin de Henri de Richemont (sénateur-maire de la Charente et vice-président du Conseil régional de Poitou-Charentes), comme parlementaire en mission sur le développement du pavillon français et sur le cabotage maritime soulignait la volonté du gouvernement d'avoir une politique nouvelle et ambitieuse en la matière.
Pour cela, la flotte de commerce doit être soutenue et les différents modes de transport de marchandises rééquilibrés explique en substance le ministère des Transports, dans des propos rapportés par les Echos.
Le lendemain, Dominique Bussereau, Secrétaire d'État aux Transports et à la Mer, en se rendant à Chalon-sur-Saône pour dialoguer avec les acteurs du développement fluvial a souligné pour sa part le dynamisme du transport fluvial, notamment du secteur céréalier et a réaffirmé l'importance de la voie d'eau pour développer une offre alternative de transports.