EUROMED’TIER… c’est reparti pour une deuxième édition !
Ouvrons grandes les portes des métiers d’Euroméditerranée !
La Cité des Entrepreneurs et Euroméditerranée organisent le 23 novembre après-midi et le 24 novembre les journées portes ouvertes des entreprises situées sur le périmètre d’Euroméditerranée. La Cité des Métiers sera également présente ainsi que l’association Gamesud.
S’agit-il du contexte actuel ou de l’implication naturelle des entreprises de la Joliette à soutenir l’emploi dans la région, toujours est-il que le nombre d’entreprises engagées dans le dispositif ne cesse de croître. Le public concerné est également élargi aux scolaires dans une organisation encadrée. D’où un programme nécessairement enrichi dans la durée et sur les thématiques présentées. Seront donc également abordés les thèmes des métiers du développement durable et des métiers commerciaux.
Par ailleurs seront maintenus les axes suivants qui ont fait le succès de la première édition :
- conférences métiers et conférences transversales ;
- organisation de journées portes ouvertes dans les entreprises ;
- espaces dédiés à des entretiens personnalisés pour les demandeurs d’emploi.
Le programme détaillé sera adressé en avant première aux adhérents de la Cité des Entrepreneurs et de ses membres associés.
Pour le grand public, le programme sera diffusé par voie de presse, affichage et message radio.
Les inscriptions seront possibles dans les prochains jours sur www.EUROMEDTIER.com
|
|
|
|
Les entreprises participantes (au 7 octobre) |
|
|
Banque/assurance
BNP Paribas
Crédit du Nord
Société générale
MAIF
Marine marchande
CMN
Bourbon
Audit Conseil
Deloitte
Télécommunications
France Telecom
Futur Telecom |
Jeux vidéo
Association Gamesud
CHR
Compass
Hôtels Accor
Gestion et maintenance d’immeubles
ONET
CEGELEC
Accompagnement des salariés
Fongecif
AFPA |
|
|
|
|
|
|
Petit-déjeuner "Piloter son entreprise en temps de crise" - le 7 octobre
De l’art du tableau de bord... à son utilisation concrète
(matinée de formation prévue d'ici la fin de l'année)
La crise semble sortir des esprits… Que l’accalmie soit longue ou courte, il semble opportun d’en tirer les leçons ! D’où ce petit-déjeuner stratégique où l’on apprend à construire des tableaux de bord simples, concrets, évolutifs… de véritables outils de pilotage qui permettent de faire face autant aux problématiques structurelles qu’aux enjeux conjoncturels traversés par toute entreprise. Atelier pratique avec Bernard Crouzet, responsable du service Appui au Développement Commercial des PME (CCIMP) et Isabelle Crouzille, gérante du Cabinet Implication.
Aux questions posées par Bernard Crouzet aux participants : "Qui a des tableaux de bord ? Sont-ils utiles, concrets, simples et mis à jour régulièrement ?", les réponses révèlent quelques lacunes… Il ressort des tableaux de bord assez passifs qui font état en fin de mois de résultats déjà pressentis, de budgets peu fiables... En conclusion, ces outils donnent des indications plutôt a posteriori et peu capables d’anticiper le pilotage de son entreprise. C’est là toute la délicatesse de l’exercice. "Un tableau de bord, souligne Isabelle Crouzille, réellement pertinent, conjugue plusieurs objectifs. Etre :
- un système d’alerte qui permette d’anticiper (risques, évolutions technologiques, opportunités de marchés…) ;
- un outil de motivation ;
- un outil de communication autant interne qu’externe (auprès des banquiers par exemple).
En définitive, il est un déclencheur d’actions à la condition d’avoir été construit en cohérence avec sa stratégie d’entreprise."
Action !
Ainsi, pour être proactif, un tableau bord doit posséder les qualités suivantes :
- rapide et facile à lire ;
- synthétique et adapté à l’entreprise ;
- cohérent et pertinent avec les ambitions de l’entreprise ;
- évolutif.
Dans cette optique, la définition de bons indicateurs est un exercice qui demande réflexion et compréhension de l’environnement de l’entreprise. C’est précisément ici que la crise peut se révéler riche d’enseignements : elle met en exergue les forces et faiblesses de l’entreprise et implique de se poser des questions comme : quelles ont été les problématiques traversées par l’entreprise ? Structurelles essentiellement ou conjoncturelles ? Difficultés de trésorerie, ruptures dans les ventes, démotivation des équipes ? Les réponses permettront de faire le point sur l’état de l’entreprise. En associant cette réflexion aux objectifs actuels de l’entreprise, elle pourra contribuer à résoudre les délicates questions de gestion entre les contraintes financières, technologiques, salariales, etc. et les objectifs de développement. Ensuite, l’entreprise aura, pour ses actions prioritaires ou essentielles à sa pérennité, des indicateurs, fiables, simples, concrets qui permettront de faire face aux risques et opportunités ! Evidemment, ces tableaux doivent évoluer avec le temps.
Télécharger document présenté lors du petit déjeuner
Petit-déjeuner "Plan de relance et mesures emplois jeunes actifs" – le 29 septembre Aidez-vous, le Pôle Emploi vous aidera !…
Lorsqu’on souhaite recruter un jeune mais aussi toute personne en recherche d’emploi, l’éventail des mesures d'accompagnements déployées est aussi vaste que technique ! Sylvie Merono, adjointe à la directrice du Pôle Emploi et Christophe Dallain, responsable de l’équipe audiovisuelle ont proposé aux adhérents de la Cité une synthèse la plus exhaustive possible !
Des mesures spécial "Jeunes"
Comme l’a souligné Christophe Dallain, "même si de nombreuses mesures sont encore en discussion ou en passe d’évoluer, il est important de les connaître. La volonté nationale actuelle est de favoriser le recrutement de 500 000 jeunes. D’où 1,2 milliard € dégagés par l’Etat pour renforcer la formation, principalement en alternance, et l’insertion durable dans la vie active."
Sommaire de ces mesures à étudier autant côté employeurs que demandeurs d’emploi :
- Renforcer l’apprentissage
- Aide à l’emploi des apprentis dans les entreprises de 11 salariés et + (AEAP) : dispositif "zéro" charges avec conditions d’éligibilité.
- Aide à l’emploi d’apprentis supplémentaires pour les entreprises de – de 50 salariés (PEAP) : prime de 1 800 euros.
- Développer le contrat de professionnalisation
- Aide à l’emploi de jeunes de – de 26 ans en contrat de professionnalisation (PECP) : aide forfaitaire de 1 000 euros pour un temps plein avec conditions d’éligibilité.
- Favoriser l’embauche des jeunes dans le secteur marchand
- CIE (Contrat Initiative Emploi) : l’employeur recevra 47 % du SMIC pendant 12 mois.
- Permettre aux jeunes d’acquérir une première expérience et des compétences transférables dans le secteur privé grâce aux contrats aidés du secteur non marchand
- Contrat d’accompagnement dans l’emploi : (CAE Passerelle) : prise en charge de 90 % du taux horaire brut du SMIC.
Et d’autres pour tous
Parmi les autres mesures présentées par Sylvie Merono (et détaillées dans la présentation du plan de relance), sont à noter les suivantes :
- l’aide à la formation préalable au recrutement (AFPR) : aide maximale de 3 600 € qui permet de financer des formations courtes ; prestation fort utilisée lorsqu’il s’agit d’accélérer l’adaptation du nouvel embauché à son poste.
- l’aide à l’embauche dans les très petites entreprises (ATPE) : très prisées par les TPE.
- le CAV.
- le Ci-RMA.
- Télécharger la présentation des missions du Pôle Emploi et des mesures Plan Emplois Jeunes
- Le site du ministère de l’Emploi
Pôle Emploi
Pour contacter un conseiller
Tél. : 0811 08 08 13
Web : http://www.pole-emploi.fr
|